C’est aujourd’hui que nous dévoilons la superbe fresque toujours cachée qui orne notre préau depuis jeudi passé. Une fresque franco-arabe issue d’un livre de Mathilde Chèvre, invitée par le Wolf.
Les élèves de quatrième année nous racontent l’histoire de « La roue de Tarek » d’où est issue la fresque.
Il était une fois, un jeune garçon, Tarek qui vit en Algérie. Il passe ses journées à jouer avec un pneu quand un jour alors qu’il remet son soulier, sa roue continue à rouler et disparaît. Le voilà parti à la recherche de son pneu, son jeu préféré, son meilleur copain, …..
Pour connaître la suite, cherche « La roue de Tarek » de Mathilde Chèvre aux éditions « Le port a jauni »
Et cette fresque ! On peut la voir ?
Si nous avons répondu « oui » avec un tel enthousiasme lorsque le Wolf nous a proposé d’accueillir cette fresque géante de la page centrale du livre de Mathilde Chèvre, c’est parce qu’elle sera pour nous le signe de ce que nous tentons de vivre au quotidien dans l’école.
Nous croyons, en effet, que les origines multiples des élèves et familles qui fréquentent l’école constituent une vraie richesse pour tous. Ce que chacun, chacune apporte aux autres, de son pays ou de sa famille d’origine, permet à tous d’avancer vers un vivre ensemble plus harmonieux dans l’école mais aussi en dehors.